Avant la sortie de son cinema événement Tenet, revenons sur la toute première incursion dans le blockbuster de Christopher Nolan, avec Batman Begins. Après avoir fait ses preuves dans le genre du thriller, il sec’attèle au plus 1000 super héros de la popular civilisation et cela avec succès !
La catastrophe commerciale et surtout critique qu’est Batman et Robin aura eu raison de la célèbre chauve-souris pendant viii ans. Il fallait donc une vision forte et nouvelle pour pouvoir faire renaître le héros. D’abord attaché à Darren Aronofsky, le projet Batman Begins atterrit entre les mains de Nolan suite à sa première collaboration avec la Warner sur Insomnia. Et le cinéaste second’appropriera totalement le genre super-héroïque pour mieux le renouveler.
Après avoir embrasser 50’face gothique du personnage sous Tim Burton et boy face cartoonesque sous Joel Schumacher, Christopher Nolan sec’inspirera de Batman : Year One pour imposer sa vision réaliste du héros. Une intention en totale concordance avec le monde postal service-11 septembre, où l’imaginaire grandiloquent est vite redescendu à la sombre réalité. Mais addition encore qu’un produit de boy époque, cette nouvelle itération position la recherche obsessionnel de réalisme de son cinéaste.
En résulte des scènes d’action aux effets tangibles, renforçant le sensationnel; et un manner urbain qui brain immerge dans cette nouvelle Gotham poisseuse. Certains fans pourront se plaindre du manque d’esthétisme et de fantasmagorie de l’univers, mais la strength de suggestion est telle qu’on en oublie le manque de fantastique issu des comics. Le mythe de 50’homme chauve-souris est alors déconstruit à travers une première (enfin!) root story ingénieuse qui décortique toutes les étapes qui mèneront Bruce Wayne à devenir Batman.
Une origin story brillante
Des origines brillamment racontée dans le premier acte à travers un récit éclaté comme Nolan sait si bien les faire. Grâce à cela, psyche pouvons découvrir la formation de Bruce en parallèle de sa jeunesse endeuillé dans un rythme narratif soutenu. La lourdeur et la lenteur que peuvent avoir certaines rootage level sont éclipsées par cette technique maligne qui donne toutes les informations nécessaires à fifty’approfondissement du personnage mais aussi au développement de l’intrigue.
L’histoire adopte une dimension psychologique occultée des précédentes versions (peut-être exception faite de quelque instant de Forever) qui donne toute sa profondeur à son personnage. Le combat entre 50’homme et ses peurs, son désir vengeance, boy ambivalence, ses dilemmes, son impossibilité de deuil : toutes ces thématiques élèvent le film au delà du uncomplicated blockbuster super-héroïque et aborde le genre de manière sérieuse.
Le métrage n’est pas pour autant parfait. Certaines extravagances de scénario, très certainement dû à un cahier des charges et à son co-scénariste David south Goyer, sont à noter : une auto micro-onde géante qui évapore les eaux de la ville mais pas celle du corps humain, un plan machiavélique rocambolesque viennent entacher le réalisme de fifty’œuvre et sa pleine immersion.
Nolan aborde ici son premier cinema d’action et cela se voit dans sa réalisation brouillonnes qui ne rend pas honneur aux chorégraphies. Cependant cela est compensé par la magistrale composition de Hans Zimmer et James Newton Howard. Elle rend le tout épique et arrive à faire oublier le thème culte d’Elfman.
Le cinéaste passe aussi un peu à côté du personnage de fifty’épouvantail de par sa mise au second design dans fifty’intrigue et n’exploite pas toutes ses possibilités de terreur. Pour le coup, à vouloir trop ancré dans le réel et comme pour Insomnia, il ne tire pas net profit du potentiel sensoriel.
Mais Batman Begins second’impose tout de même comme une renaissance parfaite, malgré tout le cahier des charges ou les possibilités qu’offre une beginning floor. Nolan sec’appropriera totalement le genre pour lui offrir ses lettres de noblesse et un nouveau mode sombre. Cependant là où Begins permet d’installer des bases solides, le cinéaste va totalement prendre boy envol et chambouler fifty’industrie avec son chef d’oeuvre, The Dark Knight. Mais avant cela, il réalisera un film beaucoup addition intimiste et trop souvent mésestimé qui concentrera toute 50’substance du cinéma de Christopher Nolan…